La survie est un problème si et seulement si on ne coopère pas en
partageant intégralement entre tous ... ce qui est bien sur le cas dans
notre monde actuel et depuis peut-être 2500 ans.. au delà je n’achète
plus rien de ce que les "savants" officiels nous font avaler
et avant je n’achète pas tout non plus et loin de là, à commencer par
les 2 guerres mondiales etc etc...je suis en train de lire des ouvrages
sur le moyen âge, là aussi "on" nous aurait copieusement menti...peu
importe..
Le mensonge par désir de changer le réel pour lui donner la forme que
moi je veux est une des propriétés en tant que effet secondaire néfaste
voire dangereux de la pensée qui alors agit hors de son champs de
compétences qui est les domaines pratiques de survie ! Son domaine
utilise alors des concepts pour "inventer" des moyens X de survivre là
où ça ne pose aucun problème apparent, mais par contre de faire de même
dans d'autres domaines non pratiques donc psychologiques où elle ne
devrait jamais aller amène dans une longue suite de cause et d'effets, à
la guerre, au vol et à toutes nos saloperies humaines.
Pour moi la dualité, moi/le monde, existe avant toute pensée en tant que
programme, elle est une des conditions impératives pour que il y ait
pensée donc analyse en fait, car la pensée c'est de l'analyse à
conclusion binaire oui/non, de la comparaison, des mesures, des valeurs
données etc..ceci vital pour tout domaine pratique...sans la pensée qui
analyse on est mort.
On a donc "moi" qui bouge dans son environnement, moi se perçoit comme
le centre, normal il est son propre référent donc juge et partie.. sans
cette dualité physique moi/environnement terrestre je ne peux survivre
dès le début car je ne pourrais pas me repérer, ni éviter ce qui doit
l’être...ni faire ce qu'il faut etc.
C'est notre programme de naissance... on va le garder comme programme
unique toute la vie ....FAUTE siffle l'arbitre. La douleur mentale
signale la faute mais on n'écoute pas, par ignorance entre autre.
Je ne crois plus à l'instinct de survie, à la place je vois notre
incompétence avec l'inconnu si uniquement la pensée dirige, l'inconnu
est infini, le connu est fini et infime, on essaye de vivre là... la
découverte involontaire du programme analytique de la pensée, vision
claire par étapes qui m'est tombée dessus en vivant la souffrance montre
cela..vivre la souffrance la résoud et ouvre des portes, nous on la
fuit.
A la place de la pseudo survie instinctive il y a bien sur la pensée
binaire qui ne peut et ne veut que vivre seulement dans le connu par
programmation donc compétences, mais ne peut pas analyser donc vivre une
inconnue comme le fait de la mort du corps donc de "moi" ..comme la
souffrance etc etc.. Ses compétences sont limitées par programmation..
La pensée a des limites qui sont là très vite, dès qu'il ne s'agit plus de domaines pratiques X, Y ou même Z...
La dualité est fuite de ce qu'elle veut ne pas vouloir qu'il soit et en
même temps désirs insatiables, une des formes que prend ce oui/non
"informatique " de ce programme...
Pour fonctionner, car sinon ce programme de la "pensée" ne va rien
faire, L'Origine a implanté des motifs pour ce faire, pour forcer..
ainsi lorsque j'ai conclu quelque chose que je veux atteindre soit par
rejet-non soit par désir-oui, se met alors en route un système
secondaire de motivations qui vient après le désir et qui va me forcer à
atteindre ce but...genre : "faut que j'y arrive à tout prix nom de
dieu !!" Si je n'y arrive pas cela fait mal. Tiens donc, mais
pourquoi ??
La pensée traduit son action et tout cela et plus encore avec ses moyens
limités sans vue globale par " instinct de survie", c'est du moins ce
qu'affirme ceux qui savent, pseudo instinct qui à la base pour moi est :
je veux et peux uniquement vivre le connu... même si c'est mensonge ou
l'imaginaire de mon glorieux futur.. instinct de survie et vivre le
connu sont deuxchoses très différents.. Je pense avoir peur de la mort
que j'essaye de fuir alors que en fait je ne peux tout simplement pas la
vivre donc l'analyser car c'est une inconnue... l'instinct de survie,
en profondeur, à sa racine est en fait le désir de rester dans le connu,
la pensée ne sait pas par programmation vivre l'inconnu.
Je ne devrais donc rien faire en pensée avec le sujet de ma mort qui est
potentiellement là toujours..."je " n' a rien à faire avec ce sujet sur
lequel il ne peut rien, je dois apprendre à rester avec passivement...
ceci peut déclencher l'autre processus qui nous manque mais "on" essaye
d'agir dessus ce fait absolu en essayant de le transformer en connu, ou
en le niant, en l’atténuant, en résistant, en buvant, en se droguant y
compris au travail, en possédant etc etc les moyens de fuite de cela
sont ....nos vies.
Je pense atteindre des buts mais la racine est que je fuis. Fuir est ce que l'on appelle la peur. Je fuis la mort en fait....
Le problème exterieur est aussi d’être en pseudo compétition qui cache
une élimination qui prend sa source dans l'analyse binaire de la
pensée ; la pensée qui rejette cela ou garde ceci selon le profit
envisagé.
Tant que je suis sur un sujet comme la construction d'une maison, çà le
fait et dès que j'aborde le relationnel psychologique avec moi et les
autres ça part en vrilles... pseudo compétition qui est forcée à
l’extrême dès l'école pour éviter que la nature reprenne ses droits et
que l'on collabore et partagions, ceci est initié par le pouvoir
toujours violent pour voler ce même collectif qui est divisé et est
persuadé sans savoir que c'est comme cela ; cela suffit à éloigner le
collectif de partage et d'entre aide naturel qui était notre destin au
niveau survie.....la seule sécurité relative que nous aurions
dû accomplir ensemble, mais le voleur violent et parasite à qui on
laisse le soin de nous dominer bien sur lui veut éviter cet éveil...
Et oui sans mouton pas de berger, mais sans berger moutons il y a toujours.
Quant au reste, il n'y a pas de reste pour nous, car nous sommes
coincés, piégés dans la pensée qui joue deux rôles à la fois, celui qui
analyse et ce qui est analysé, ce qui encore une fois marche dans les
domaines pratiques et est vital,et qui ne marche pas du tout dans les
domaines dits psychologiques ou par exemple la pensée croit qu'il y a
moi d'un coté et la souffrance de l'autre alors que la réalité est que
il y a moi en souffrance, un "objet" unique.
J'explique un peu plus : "moi je" ressens de la souffrance de vivre, une
peine lourde, une croix à porter (peur, angoisse, terreur, déprime,
tristesse, sentiment d'insécurité etc etc), mais je ne sais pas ce que
c'est, je n'en connais pas l'origine, je veux m'en débarrasser bien sur.
Si la pensée s'empare du sujet elle va faire uniquement ce qu'elle sait
et peut faire et va donc créer un analyseur qui est "moi" qui va
analyser un objet, qui est ici la souffrance.
Or cette proposition n'existe pas, il n'y a que un objet qui est "moi qui souffre".
De créer une binarité, une polarité, là ou il n'y en a pas va faire que
ce problème ne va jamais etre résolu, car je suis la souffrance... cela
implique que je dois souffrir et ne pas essayer de fuir, se fuir soi
même étant impossible..
Ceci va forcer le cerveau à mettre en route nos capacités endormies .. du peu que j'en sache ceci ressemble à s'y méprendre aux 4 nobles vérités d'un gars un peu connu d'il y a environ 2500 ans...comme aussi d'un autre gars moins connu mort en 1986, JK comme Jiddu krishnamurti et non pas JFK comme John Fitzgerald Kennedy.
La souffrance devient alors symptôme d'erreur et catalyseur vital
d'ouverture du cerveau en entier, qui doit impérativement etre laissé
libre d'agir...
La difficulté majeure se trouve là : je ne peux vouloir résoudre la
souffrance. Si cela est le cas alors c'est encore la pensée déguisée qui
est encore à l’affût d'un profit, et rien ne se passera comme
"miracle"...
La souffrance doit etre vécue parce que elle est moi, mais aussi parce
que elle va impliquer le non conscient dans la partie et faire que
celui-ci aussi, ne cherche pas non plus à tirer profit, en clair cela
paralyse pour quelques secondes le totalitarisme de la pensée sur le
cerveau et si cela est un fait, alors nos programmes endormis
vont commencer à se réveiller à un rythme qui est le leur, la volonté
n'a rien avoir dans ces domaines....
Je reconnais que ce sujet n'attire pas évidemment....eh bien c'est une faute majeure.
Notre programme manquant n' a rien à voir avec la volonté, les 85% de
connexions manquantes du cerveau selon certains qui disent qu'ils
savent, ces 85 % ne sont pas pour faire encore pire non, les 15% qui
nous restent sont déjà suffisants, ces 85% sont pour faire autre chose
de totalement différent...
Autant la pensée analytique doit faire des choix mais uniquement pour
tout aspect de la vie PRATIQUE courante, de chaque instant, bouffe,
logement, vêtements etc etc...autant la partie manquante du cerveau elle
ne fait pas cela du tout ; elle contient le lien avec les autres, avec
la nature, etc ; elle n'analyse pas, ne divise pas en moi/ les autres,
ne crée pas de hiérarchie, de valeurs + ou -.. en gros en dehors de la
pensée humaine, tout est égal,en fait unitaire-unifié sont des mots plus
juste = tous nos problèmes sont et seront alors résolus.
La pensée ou "moi je suis le roi du monde et mon cul sur la
commode", n'a pas de lien avec quoi ou qui que ce soit, sauf pour en
tirer profit.. c'est dans son fonctionnement binaire moi/le monde.. sans
faire cela il n'y aurait pas de pensée, chaque etre dit vivant a un tel
programme plus ou moins développé....
Ainsi le fait de ne pas ouvrir tout notre cerveau est la seule cause de
la démence humaine..... nos pseudo ancêtres, ces connards de singes
voleurs de bananes des autres, n'y sont pour rien ....
La seule porte qui nous reste est celle ou se trouve ce que l'on passe
une vie à essayer de fuir... elle est ce que on appelle la souffrance,
notre non vie crée de la souffrance, un phénomène naturel qui doit
arriver. Il signale tel un symptôme que quelque chose na va pas et il a
une deuxième fonction de catalyseur qui, si il est laissé libre d'agir,
va amener l'autre partie manquante du cerveau à s'ouvrir.....
Cette autre partie baigne dans une sorte d’Énergie étrange, profonde, en Paix...
Alors que la nourriture terrestre remplit le corps, cette énergie
étrange, impossible à mettre en mots remplit ce qui n'est pas physique,
dans de tels moments la question du sens a disparue..... seul un être en
souffrance cherche un sens, celui qui ne souffre plus ne pose pas une
telle question.
Fin provisoire : nous n'avons plus en fonctionnement dans notre cerveau
que la partie outil mécanique à fonctionnement aléatoire qui analyse la
mémoire, y compris celle passée de un milliardième de secondes, y
compris celle du futur qui n'a pas de fin... car ce programme ne
considère pas la fin, car il a comme priorité absolue de considérer la
durée sans y inclure la fin...
Ce programme doit par nature etre superficiel pour un accès qui nous
semble immédiat mais ne l'est pas, pour un accès quasi instantané à des
informations vitales nécessaires pour le fonctionnement journalier dans
notre environnement..
Cela va créer des zones non conscientes pour le dit programme, car il y a
des zones plus profondes dans l'analyse, dans la pensée, je le sais par
expériences directes et renouvelées comme d'autres le savent aussi bien
sur... ceci n'a rien d’exceptionnel en soi.. d'ailleurs je serais même
tenté de dire qu'il n'y a rien ni personne d’exceptionnel dans le sens
WOW !!! nulle part, sauf si la pensée est présente et donne son avis car
la pensée qualifie tout ce qu'elle regarde de quelque chose, bien, pas
bien, bon, pas bon etc etc encore une fois ceci est nécessaire pour
survivre et un danger mortel pour la vie, elle doit donc etre conservée
bien sur, et nous devons nous mettre en route le reste de nos capacités
ce que L'Origine ne peut pas faire pour nous, la pensée doit sous le
poids de sa souffrance qu'elle doit vivre comme tel, doit renoncer à
elle meme dans certaine circonstance et se laisser pénétrer par sa
douleur puis plus tard par l'inconnu, ceci est un apprentissage, l'éveil
et bien c'est par là...fastoche non ??
Cette zone profonde de la pensée inatteignable par notre pensée
superficielle qui fait son travail tel que programmé en surface des
chose et qui a une zone de compétences limités à la survie pratique,
cette zone profonde hélas pour nous ne devrait pas être dans le non
conscient....je dis hélas car ce que j'ai découvert pour moi même en
vivant la souffrance d'une telle non vie au lieu de la fuir est que la
force des désirs insoupçonné de notre pensée habituelle a énormément
plus de poids que nos désirs superficiels...
en langage clair...on ne sait rien de nos VRAIS motifs....
c'est dramatique..
De plus on a donc aussi perdu l’accès à nos autres capacités non
analytiques, aujourd'hui et éteintes depuis, au hasard Balthazar, 2500
ans sauf exceptions brèves voire plus, mais potentiellement toujours là
pour tous, prêtes à fonctionner à nouveau dans certaines conditions X, Y
ou même Z...
Ces autres capacités manquantes ont la solution de nos problemes qui
sera montrée par la vision profonde de celui-ci à sa source...la
solution à nos problemes n'est plus humaine mais globale ; ces
capacités qui en fait nous sont totalement inconnues parce que nous ne
fonctionnons plus que en surface des choses, ce qui je le redis est
néanmoins vital.
En gros ces capacités manquantes qui sont elles aussi programmées, ont
le rôle de savoir trouver toute seules la racine des problemes, de les
exposer à la lumière, et de les résoudre, ça marche tout seul, la pensée
est exclue de ce mouvement intelligent mais je ne sais pas le principe
de fonctionnement au niveau programme, je sais juste que ça marche par
expérience .... le mot "illumination" veut dire cela. De plus cela amène
aussi à voir le fonctionnement même du programme de la pensée, cela se
fait aussi tout seul... l'illumination est vraiment un truc de
fainéant :-))
Elles contiennent aussi un lien entrée / sortie avec .....euh disons modestement L'Origine, L'Univers la nature etc etc...
A ce moment la nature de l’énergie qui dirige alors le cerveau ne divise
pas en moi/les autres, ne hiérarchise pas, ne donne pas de valeurs plus
ou moins, et considère étrangement que tout est donc égal, ni petit, ni
grand...
Nos problemes humains seront résolus ainsi... on pense que L'Origine
nous abandonne alors que c'est nous qui avons coupé notre lien avec
....TOUT...pour n’être plus que machine qui fait des machines...
Nous ne vivons pas mais survivons physiquement....
Bien que basé sur des faits vécus et revécus, ceci ne peut être perçu
que comme un exposé théorique qui n'est vrai que si cela devient aussi
une expérience pour un autre... sinon cela n'est qu'une autre théorie de
plus, avec des milliards d'autres, mais personne ne peut aller dans une
telle direction pour une autre.... ainsi disparait celui qui sait, le
guru, le maitre, le pouvoir etc etc... il y a juste des gens qui disent
leurs moments de "grace" vécus et non pas des théories
intellectuelles,deux mondes qui n'ont rien à voir ! ce qui implique
aussi des moments de douleur intense résolue car vécues donc comprises.
Certes il serait bien de se passer de douleur me dis-je à moi-même,
en me rappellant que bien sur j'avais comme tout le monde commencé par
là et que cela avait été une catastrophe , car nier la souffrance
mentale d'une vie qui n'a aucun sens, c'est refermer défintivement la
porte à ce qu'il y a derrière et qui est la libération de cette
souffrance par la "vision étrange" de sa racine, cela ouvre à un éveil à
notre nature profonde ; cette souffrance pour moi est en fait un
processus d'éveil si on ne fuit pas... si on fuit cela, çà donne notre
monde de machines, prêt à se suicider...
L' éveil est bien sur au dela des mots, de l'imaginaire même le plus
fertile... certains que je connais l'ont rencontré cette énergie étrange
en paix totale, en pensant qu'il s'agissait d'une expérience de mort
imminente, alors que en fait il s'agissait tout simplement d'une
expérience de vie.
Ce réveil qui est à la fois graduel et par bond ne se fait pas dans
l'isolation, dans la reclusion mais dans le mouvement de la vie
exterieure telle qu'elle est, l'isolation au sommet d'une montagne n'est
pas un facteur déclenchant, le facteur n'est pas extérieur mais
intérieur ...c'est cela qui va changer ce monde radicalement, si nous
changeons d'abord.
Quelque part l’expression : aide toi et le ciel t'aidera.... me
semble étrangement juste et vraie . Ce que certains traduiraient par : chacun sa merde et dieu pour tous .....
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