Friday 28 October 2016

Tant que règne cette idée, que dis-je ce mythe, que la compétition soit un fait avéré de notre nature, de la nature de tout ce qui est, d'où la nécéssité de la croyance dans une expansion, mais aussi dans une évolution qui irait du pire " nul à chier" vers le mieux absolu etc, comme du moyen âge où tout le monde pue vers l'être suprème en devenir que nous serions etc tout ceci et plus qui aboutit naturellement au mythe du meilleur éliminant de facto 99%, qui élimine les autres possibilités ou personnes de facto et les rend esclaves ou soumis au diktat du vainqueur, qui lui sait, a forcément juste, tout juste eh bien avec une telle panoplie de perfection pourquoi donc changer quoi que ce soit et même seulement oser y penser, car nous avons là forcément le meilleur des résultats possibles avec les meilleurs à tous les postes, et ce à tous les niveaux..
JPEG - 371.9 ko
les portes de l’enfer par Rodin
Rodin’s Gates of Hell at Musee Rodin in Paris. He was never able to put the pieces for the Gates of Hell together in his lifetime. The museum casted this later.

Ainsi les deux guerres dites mondiales et leur 80 millions de morts furent en leur temps ce que l'humain a fait de mieux ..
à moins que ces deux mythes ne soient..........FAUX ... ? ? ?
Pour moi c’est très clair ils le sont....mais une telle phrase à brule pourpoint n'est qu'un autre bla bla de plus.
Si je suis seul mon talent inné pour lequel je n'y suis pour rien du tout, ne vaut rien ; seul le collectif permet à chaque capacités de fleurir, il y a alors une cooperation naturelle spontanée entre le collectif d'où est né l'individuel, la particule...la plus haute des capacités, la coopération, le sens du collectif et de l’individuel bien à leurs places ne nous est pas donné car elle n’est pas mécanique comme les autres capacités qui nous sont données....L’Univers donne, nous on monnaye.....cela résume le parcours actuel de l’humanité telle qu’elle est devenue ...car nous n’avons pas toujours été aussi orduriers..
Dans mon voyage en moi même........... oui car je ne vais pas aller voyager en vous mêmes, en lui même, quoique en se connaissant beaucoup cela est possible car notre base est la même à tous, la base mentale de notre cerveau, notre fonctionnement a exactement les mêmes bases avec des variantes superficielles nécessaire, car si nous étions tous indentiques en capacités, là non plus il n'y aurait plus d'humain depuis le début,..
 
voyage involontaire je précise , car la volonté est le désir, le désir est ce que moi je veux, etc et ceci ne tient souvent pas compte du réel, car ce que je veux prime...si je veux me laver les pieds, rien à dire, ou au contraire vas y vite !! si je veux coloniser la planète en tuant tous ceux qui resistent, là problême il y a...voyage qui démarre par le début donc, le premier pas, quel peut donc bien être un premier pas ?? voyage donc par la seule porte d'entrée en soi même, direction la profondeur de ce que je suis, porte qui me semble exister, porte qui est la souffrance mentale, la mienne pas celle des autres bien que les tenants et aboutissants en soient les mêmes bien sur.. pas de panique cela n’est qu’un processus naturel d’éveil,..............
il est donc question de ce qui nous reste de cerveau que j'appelle cerveau analytique, c'est un outil vital de survie et c'est aussi Hiroshima mon amour...
dans ce voyage je vois sans le chercher que la compétition n’existe pas et je vois ce que cela cache en réalité et qui est dû au fonctionnement conceptuel de notre programme de la pensée, encore une fois ce programme est vital pout tout ce qui est "animé", pour tout organisme dit vivant.
L'idée de compétition est une invention théorique fausse faite pour empêcher l’éveil et l'unité collective en paix par la création constante de conflits permanents entre humain et aussi, entre autre, pour justifier le vol du collectif, la hiérarchie sociale financière etc etc etc etc.... Attention savoir qui est doué de façon inné et pour quoi et ce genre de choses est quelque chose de très facile à mettre en place collectivement... tout ceci donc pour empêcher la réunion des humains qui est le seul chemin naturel de L'Ordre Universel de ce qui est...

 Qui initie et accomplit cela ? le voleur qui dirige bien sur... car l’éveil et l’union des humains pour bien survivre ensemble impliquant le partage égal volontaire car naturel, signifie la fin de l’ère des voleurs violents et parasites forcément, ce qui est l'ére sous quelle nous vivons depuis un moment.......qui sont des parasites du vrai travail...et des voleurs de ce même travail collectif...
Derrière cette pseudo compétition il y a bien sur quelque chose de réel qui est tout autre chose, et là sans connaître par révélations étranges le programme de la pensée (software), il n’est pas possible de bien saisir cela...

je vais essayer cependant car je suis bon Prince.. ne vous méprenez pas sur cette phrase elle est juste destinée à énerver certains...

la pensée qui est un programme pour fonctionner, entre autre, dégage un observateur, moi, et la chose qu’il observe, qui est tout et donc n’importe quoi... cet observateur a besoin de motifs, de raisons pour observer, et analyser, le désir, partie intégrée de ce programme, existe pour cette raison, comme le sont aussi l’ auto satisfaction et autres "qu'est-ce que je suis génial", qui sont des réactions programmées pour que l’ensemble de notre programme marche ... je vais analyser parce que je veux quelque chose, pas de désirs = pas d’analyse = pas de survie....c’est donc vital !!
La base de la pensée est la survie de tout ce qui est physiquement vivant, mais aussi, pour moi, plus simplement le fait de pouvoir se déplacer dans l’environnement, où je retrouve un " je" qui est séparé de l’environnement pour évoluer physiquement dans cet environnement, cela m’évite de tomber, de me cogner et aide à me repérer etc etc etc etc...
jusqu’à là pas encore de violence........ mais patience ça arrive :-)
Un des inconvénients dangereux de ce programme de la pensée analytique outil vital pour survivre tient dans son fonctionnement lui même.... l’observateur ainsi dégagé, vital pour survivre physiquement, si cela est tout ce que nous avons comme capacité, va alors partout et tout le temps maintenir cette division entre « je » et ce qui n’est pas « je », c’est à dire tout le reste, cela inclut en fait TOUT L’ UNIVERS, je est coupé de l’univers, donc bien sur des autres humains....
Ce qui pour le moment n'est pas encore un problème, ceci est encore et toujours nécessaire pour penser, pour analyser une ou des parties du tout... la pensée réduit le tout qu'elle perçoit mais qui n'est bien sur pas le TOUT infini, immense, sans fin, à une portion minime de son choix basé sur, on va dire des désirs-motifs X pour le moment, sur laquelle elle peut réfléchir pour en tirer quelque chose de bien pour organiser la survie, genre je me concentre sur la structure de mon abri pour qu'il soit solide..le plus solide que je puisse faire...rien à dire.
On vu une des bases de la pensée qui est d' établir la vie physique, la survie ; entre autres bases pour que cela marche en tant que programme sont inclus des sous programmes complémentaires, comme la notion de mieux, plus, moins, égal etc une calculatrice donc est dans notre programme, cela permets d’évaluer tout et rien afin là encore de trouver des moyens pour la vie physique du corps, nourriture, abris, vêtements etc etc ; cela permet de faire un abri solide , de bons outils etc.. le tout étant dans le champs du relatif mieux....
là encore le pire n’a pas encore eu lieu ... car on n'est pas encore dans la mise en action mais dans l'analyse conceptuelle, tout ce qui est décrit se passe en peu de secondes, la plupart étant passé dans notre zone non consciente, mais ceci est un autre sujet, lié bien sur, mais une autre fois.
Mais tout est prêt pour que la violence et le conflit sans fin "enfin" démarre !!

Ce « je » qui est un programme d’analyse, une calculatrice et bien plus encore va alors, de par son inertie mécanique puissante et l'absence d'autres capacités, envahir tous les aspects du fait de vivre avec ce même programme, sans savoir qu’il est un programme, sans savoir qu’il est aléatoire, sans savoir qu’il est mécanique, sans rien savoir de ses propres motivations qui le font marcher, en gros sans rien savoir de lui même, de ce qu’il est et sans savoir qu’une partie de lui même en plus est cachée de l’analyse superficielle qu’il produit .. parenthèses ici l’analyse superficielle doit absolument exister et être superficielle car son rôle est dans l’immédiat, donc un accés ultra rapide à certaines information vitales et-ou nécessaires dans l'instant doit se faire et donc l'accés à une zone de stockage d'informations mémorisées de ce genre doit être superficiel donc pour garantir un accès et une réponse immédiate dans certains cas de la vie courante là encore sans ce programme il n’y a pas de survie, ce programme est vital....UNIQUEMENT là ou il DOIT fonctionner..... dans le champs du connu de moi même....
Et là tout s’arrête, je vais passer ma vie jusqu'à la fin dans cette zone du cerveau, en compagnie de moi même, de mes pulsions, de mes désirs, qui petit à petit vont devenir souffrances, frustrations, mécontentement permanent, haine etc jusqu’à la guerre qui tue, si si si, vous savez cette sorte de croix que l'on porte toute sa vie en prétendant que tout est génial... quand tout n'est que désirs avec l'autre coté de la pièce qui est la peur... dont nous ne savons rien, même à Marseille. Elle est nulle , je sais ;-)

Ce programme superficiel va essayer de tout contrôler avec ses capacités limitées, limitées à ce qu'il connait, à ce qu'il veut sans en savoir les racines, au connu, à son propre connu, parce que il est mécanique et doté d’une puissante inertie mécanique donc et ne connaît aucune raison de ne pas le faire..
Sauf si ??
Ainsi « je » qui est une partie de notre programme d’analyse, de la pensée donc, qui se prends pour un être humain accompli est en fait une sorte de chef de l’analyse , est la partie qui décide, qui va dire oui je te garde tu peux me servir, ou non je te jette car tu ne peux pas me servir etc , si on parle d'idées conceptuelles, de plans de la maison etc pas de problèmes mais voila "on" va faire pareil avec les choses, les humains et les animaux, et ainsi tout devient objet potentiel qui peut servir à chacun et là ,enfin, le désastre humain peut et va commencer..."je" est alors partie d'un programme , est celui qui décide ce qu’il veut sans jamais connaître la profondeur du pourquoi il veut, ce je est totalement isolé de TOUT sauf de lui même, la seule référence qu’il ait est lui même...
le conflit permanent entre nous a commencé, tout part du cerveau de chacun !!!!
C'est pas fini car je est bien sur comme "on" l'a montré, divisé en lui même aussi, c’est sa nature de base sinon il ne marche pas car « je » ne peut analyser le tout, et pour ce qui est de detailsde la survie pratique il doit faire cela, MAIS PAS AVEC LES HUMAINS... il doit donc impérativement diviser l’objet de son analyse en parties isolées du tout...
Sur le plan mental c'est une catastrophe... qui va aboutir à des catastrophes criminelles aussi dans le monde extérieur... tout ce qui se passe sur terre avec les humains a d'abord et avant tout pris naissance dans nos cerveaux...ce qui,admettez le, est un non sujet total pour chacun, là je parle du fonctionnement du cerveau, pas de sa constitution physique.. certes certains en connaissent un tout petit bout superficiel qui sert à manipuler le troupeau.. moi, toi aussi, même eux aussi !
Le penseur qu'il soit de Rodin ou pas, croit que lorsque il rencontre la souffrance mentale il a affaire à deux « entités », le con va continuer à diviser, à analyser et à se prendre pour l'observateur séparé de la souffrance, il ne sait pas qu c'est lui, une seule entitée, être en souffrance mentale est l'état naturel de l'observateur, pour des raisons que je vois par révélations de ce programme mais c'est assez là pour le moment. comme "je" d’un coté et la souffrance de l’autre... il ne sait pas que la souffrance est son état exact, c’est lui... alors croyant que cela n’est pas lui, il ne va JAMAIS résoudre cette question comme tant d’autres car il s'auto élimine comme origine potentielle, ce qu'il est, de la souffrance.... « je » est alors un programme qui souffre, et à ce moment là où il va essayer d’agir sur la souffrance sans savoir que c'est lui, il ne va jamais réussir à quoi que ce soit sauf de créer l’illusion de cela par la fuite de.... lui même, pensant que cette souffrance n’est pas lui....
Ceci est souvent perçu dans nos rêves de fuite..qui deviennent des cauchemars.
A partir de là, toutes nos pensées et actions qui en découlent sans que on le sache ne sont que des tentatives de fuite de la souffrance mentale qui cache derrière elle la frustration, la peur, la haine, la douleur, le désespoir, l’espoir, etc etc tout ce que l’on fait est œuvre du désespoir dans lequel nous nous sommes enfermés nous mêmes...
les problèmes non résolus s’accumulent... de + en +...... tuer est un dérivatif de sa souffrance, une tentative démente de se fuir soi même, comme voler aussi, comme le suicide.... dérivatif dans le sens de tentative de fuir, de se fuir, de fuir ce que je suis devenu, pensant que « je » est différent de cela.. la souffrance rend mauvais, si je souffre je peux alors faire souffrir .... tout est bon dans le cochon certes, mais là il s'agit de tout est bon pour essayer de fuir cette sensation appelée souffrance ou douleur ou déprime ou etc etc..
le non sens total est là,...je ne vis plus , je survie en essayant de me fuir, de fuir ce poids de vivre...
Nous avons corrompu la vie.
Nous humains sommes coincés exactement là, dans cette pensée superficielle , notre lien avec Le Tout n’existe plus....la pensée ayant cette spécificité d’être autonome, même en l’absence de ce lien universel.....
Mais alors la souffrance ? on en fait quoi ?
A vous de voir.... je fus vaincu par elle, donc par moi même en fait... la souffrance est l’état naturel à un certain âge de la pensée... ceci est un symptôme d’erreur.... et et et un...... catalyseur...
un catalyseur que j’ai laissé libre plusieurs fois en voyant objectivement que ma vie n’en était pas une... je vis, je vois que je suis vaincu par ce non sens total , cette souffrance .. je l’ai laissé libre sans rien attendre du tout..... ceci est totalement inhabituel pour la pensée, même a priori impossible.... et cependant.... vaincue par elle même cela ouvre la porte à nos autres capacités qui vont COMME ELLES LE VEULENT, se mettre en route selon un schéma absolument et totalement imprévisible........
Nos autres capacités aujourd'hui perdues se mettent alors en route COMME ELLES LE VEULENT, on entre dans le champs de l'inconnu, là ou les songes sont connectés avec L'Origine, si elle le veut bien. Dans cet autre monde, je ne dirige plus...j'écoute, la ferme là où il le doit etc... on rentre dans un mouvement sans fin, sauf mort du corps bien sur...
Là des événements impossibles dira la science du moment donc t'es fou mon gars :-) imprévisibles se produisent comme ils le veulent,.... une deuxième naissance vitale doit se produire, nos capacités perdues doivent se réveiller, elles ne sont ni analytiques, ni divisivées, ni comparatives, ni hiérachiques et comprennent aussi un émetteur récepteur avec , je vous laisse ressentir avec quoi .. elles sont au delà de la pensée... et vitales pour vivre comme la pensée est vitale pour survire, la pensée n’a pas accès à cette autre dimension du fait de vivre... dans ce monde au dela du connu, je ne décide de rien du tout.... c’est "ce qui est" , le problême mental vécu et non analysé qui décide, car le problême doit arriver et nous devons le solutionner, il contient notre guide, notre nourriture mental.. car oui cela nourrit le cerveau, le mental, alors on est vivant et non plus survivant, les problèmes décident, la souffrance qui revient décide, la peur décide, l’angoisse décide, si et seulement si la pensée ne s’y oppose pas... car tout cela est elle même....
c'est plus complexe bien sur...cela dit, c'est un chemin solitaire en soi et bien plus alors et étrangement amène a savoir collaborer, coopérer partager, aider etc etc
retours donc à la souffrance comme symptôme d’erreur et comme catalyseur....
Attention, la pensée est absolument vitale, pas de pensée pas de survie, mais si elle essaye de s’aventurer là ou elle ne doit jamais aller.. alors elle est le pire de nos cauchemars... elle est le non sens, la peur qui est fuite, l’angoisse, la douleur mentale, le désespoir qui tue, le business, la compétition qui élimine donc la guerre, elle est la torture, le vol, la destruction, la misère d’être coupé de L’Origine.......
Pour moi ceci doit se produire et se produira tant que le voyage en soi n’est pas fait........ « je » multiplié par X milliards suis le responsable du désastre en moi même et sur la planète...
bien sur ainsi farouchement attaqué, la pensée va nier...........sauf si........
changing oneself changing the world..... jiddu krishnamurti++
bonus : Socrate : Je ne fais rien d’autre en effet que de circuler partout ; je vous engage, les plus jeunes comme les âgés, à n’avoir, ni pour vos corps, ni pour votre fortune, de souci qui soit antérieur à celui de l’amélioration de votre âme, ni qui soit même également fort ; je vous dis que ce n’est pas de la fortune que naît le vrai mérite, mais que c’est le vrai mérite qui fait bonne la fortune, les autres choses humaines aussi, toutes sans exception, dans les affaires privées comme dans celles de l’état. Maintenant, si c’est en disant cela que je corromps, alors c’est que cela est dommageable ! (…)
 Ainsi donc à présent, il s’en faut de beaucoup, Athéniens, que ce soit, comme on pourrait le croire, ma cause à moi que je plaide ; c’est plutôt la vôtre, de peur qu’en me condamnant vous ne commettiez une grave faute au sujet du cadeau que vous a fait le Dieu ! Si en effet vous me faites périr, il ne vous sera pas facile d’en trouver un autre qui soit comme je suis : tout bonnement (quand même il serait par trop ridicule de parler ainsi !), attaché par le dieu au flanc de la cité, comme au flanc d’un cheval puissant et de bonne race, mais auquel sa puissance même donne trop de lourdeur et qui a besoin d’être réveillé par une manière de taon. C’est justement en telle manière que moi, tel que je suis, le dieu m’a attaché à la cité ; moi qui réveille chacun de vous individuellement, qui le stimule, qui lui fait des reproches, n’arrêtant pas un instant de le faire, m’installant partout, et le jour entier.
Platon ; Apologie de Socrate, 4ème siècle avant J.C.

No comments:

Post a Comment