Wednesday 1 August 2018

La survie est un problème si et seulement si on ne coopère pas en partageant intégralement entre tous ... ce qui est bien sur le cas dans notre monde actuel et depuis peut-être 2500 ans.. au delà je n’achète plus rien de ce que les "savants" officiels nous font avaler
et avant je n’achète pas tout non plus et loin de là, à commencer par les 2 guerres mondiales etc etc...je suis en train de lire des ouvrages sur le moyen âge, là aussi "on" nous aurait copieusement menti...peu importe..

Le mensonge par désir de changer le réel pour lui donner la forme que moi je veux est une des propriétés en tant que effet secondaire néfaste voire dangereux de la pensée qui alors agit hors de son champs de compétences qui est les domaines pratiques de survie ! Son domaine utilise alors des concepts pour "inventer" des moyens X de survivre là où ça ne pose aucun problème apparent, mais par contre de faire de même dans d'autres domaines non pratiques donc psychologiques où elle ne devrait jamais aller amène dans une longue suite de cause et d'effets, à la guerre, au vol et à toutes nos saloperies humaines.
Pour moi la dualité, moi/le monde, existe avant toute pensée en tant que programme, elle est une des conditions impératives pour que il y ait pensée donc analyse en fait, car la pensée c'est de l'analyse à conclusion binaire oui/non, de la comparaison, des mesures, des valeurs données etc..ceci vital pour tout domaine pratique...sans la pensée qui analyse on est mort.

On a donc "moi" qui bouge dans son environnement, moi se perçoit comme le centre, normal il est son propre référent donc juge et partie.. sans cette dualité physique moi/environnement terrestre je ne peux survivre dès le début car je ne pourrais pas me repérer, ni éviter ce qui doit l’être...ni faire ce qu'il faut etc.

C'est notre programme de naissance... on va le garder comme programme unique toute la vie ....FAUTE siffle l'arbitre. La douleur mentale signale la faute mais on n'écoute pas, par ignorance entre autre.

Je ne crois plus à l'instinct de survie, à la place je vois notre incompétence avec l'inconnu si uniquement la pensée dirige, l'inconnu est infini, le connu est fini et infime, on essaye de vivre là... la découverte involontaire du programme analytique de la pensée, vision claire par étapes qui m'est tombée dessus en vivant la souffrance montre cela..vivre la souffrance la résoud et ouvre des portes, nous on la fuit.

A la place de la pseudo survie instinctive il y a bien sur la pensée binaire qui ne peut et ne veut que vivre seulement dans le connu par programmation donc compétences, mais ne peut pas analyser donc vivre une inconnue comme le fait de la mort du corps donc de "moi" ..comme la souffrance etc etc.. Ses compétences sont limitées par programmation..

La pensée a des limites qui sont là très vite, dès qu'il ne s'agit plus de domaines pratiques X, Y ou même Z...

La dualité est fuite de ce qu'elle veut ne pas vouloir qu'il soit et en même temps désirs insatiables, une des formes que prend ce oui/non "informatique " de ce programme...

Pour fonctionner, car sinon ce programme de la "pensée" ne va rien faire, L'Origine a implanté des motifs pour ce faire, pour forcer.. ainsi lorsque j'ai conclu quelque chose que je veux atteindre soit par rejet-non soit par désir-oui, se met alors en route un système secondaire de motivations qui vient après le désir et qui va me forcer à atteindre ce but...genre : "faut que j'y arrive à tout prix nom de dieu !!" Si je n'y arrive pas cela fait mal. Tiens donc, mais pourquoi ??

La pensée traduit son action et tout cela et plus encore avec ses moyens limités sans vue globale par " instinct de survie", c'est du moins ce qu'affirme ceux qui savent, pseudo instinct qui à la base pour moi est : je veux et peux uniquement vivre le connu... même si c'est mensonge ou l'imaginaire de mon glorieux futur.. instinct de survie et vivre le connu sont deuxchoses très différents.. Je pense avoir peur de la mort que j'essaye de fuir alors que en fait je ne peux tout simplement pas la vivre donc l'analyser car c'est une inconnue... l'instinct de survie, en profondeur, à sa racine est en fait le désir de rester dans le connu, la pensée ne sait pas par programmation vivre l'inconnu.

Je ne devrais donc rien faire en pensée avec le sujet de ma mort qui est potentiellement là toujours..."je " n' a rien à faire avec ce sujet sur lequel il ne peut rien, je dois apprendre à rester avec passivement... ceci peut déclencher l'autre processus qui nous manque mais "on" essaye d'agir dessus ce fait absolu en essayant de le transformer en connu, ou en le niant, en l’atténuant, en résistant, en buvant, en se droguant y compris au travail, en possédant etc etc les moyens de fuite de cela sont ....nos vies.

Je pense atteindre des buts mais la racine est que je fuis. Fuir est ce que l'on appelle la peur. Je fuis la mort en fait....

Le problème exterieur est aussi d’être en pseudo compétition qui cache une élimination qui prend sa source dans l'analyse binaire de la pensée ; la pensée qui rejette cela ou garde ceci selon le profit envisagé.

Tant que je suis sur un sujet comme la construction d'une maison, çà le fait et dès que j'aborde le relationnel psychologique avec moi et les autres ça part en vrilles... pseudo compétition qui est forcée à l’extrême dès l'école pour éviter que la nature reprenne ses droits et que l'on collabore et partagions, ceci est initié par le pouvoir toujours violent pour voler ce même collectif qui est divisé et est persuadé sans savoir que c'est comme cela ; cela suffit à éloigner le collectif de partage et d'entre aide naturel qui était notre destin au niveau survie.....la seule sécurité relative que nous aurions dû accomplir ensemble, mais le voleur violent et parasite à qui on laisse le soin de nous dominer bien sur lui veut éviter cet éveil...

Et oui sans mouton pas de berger, mais sans berger moutons il y a toujours.

Quant au reste, il n'y a pas de reste pour nous, car nous sommes coincés, piégés dans la pensée qui joue deux rôles à la fois, celui qui analyse et ce qui est analysé, ce qui encore une fois marche dans les domaines pratiques et est vital,et qui ne marche pas du tout dans les domaines dits psychologiques ou par exemple la pensée croit qu'il y a moi d'un coté et la souffrance de l'autre alors que la réalité est que il y a moi en souffrance, un "objet" unique.

J'explique un peu plus : "moi je" ressens de la souffrance de vivre, une peine lourde, une croix à porter (peur, angoisse, terreur, déprime, tristesse, sentiment d'insécurité etc etc), mais je ne sais pas ce que c'est, je n'en connais pas l'origine, je veux m'en débarrasser bien sur.
 Si la pensée s'empare du sujet elle va faire uniquement ce qu'elle sait et peut faire et va donc créer un analyseur qui est "moi" qui va analyser un objet, qui est ici la souffrance.
Or cette proposition n'existe pas, il n'y a que un objet qui est "moi qui souffre".
De créer une binarité, une polarité, là ou il n'y en a pas va faire que ce problème ne va jamais etre résolu, car je suis la souffrance... cela implique que je dois souffrir et ne pas essayer de fuir, se fuir soi même étant impossible..

Ceci va forcer le cerveau à mettre en route nos capacités endormies .. du peu que j'en sache ceci ressemble à s'y méprendre aux 4 nobles vérités d'un gars un peu connu d'il y a environ 2500 ans...comme aussi d'un autre gars moins connu mort en 1986, JK comme Jiddu krishnamurti et non pas JFK comme John Fitzgerald Kennedy.

La souffrance devient alors symptôme d'erreur et catalyseur vital d'ouverture du cerveau en entier, qui doit impérativement etre laissé libre d'agir...

La difficulté majeure se trouve là : je ne peux vouloir résoudre la souffrance. Si cela est le cas alors c'est encore la pensée déguisée qui est encore à l’affût d'un profit, et rien ne se passera comme "miracle"...
La souffrance doit etre vécue parce que elle est moi, mais aussi parce que elle va impliquer le non conscient dans la partie et faire que celui-ci aussi, ne cherche pas non plus à tirer profit, en clair cela paralyse pour quelques secondes le totalitarisme de la pensée sur le cerveau et si cela est un fait, alors nos programmes endormis vont commencer à se réveiller à un rythme qui est le leur, la volonté n'a rien avoir dans ces domaines....

Je reconnais que ce sujet n'attire pas évidemment....eh bien c'est une faute majeure.

 Notre programme manquant n' a rien à voir avec la volonté, les 85% de connexions manquantes du cerveau selon certains qui disent qu'ils savent, ces 85 % ne sont pas pour faire encore pire non, les 15% qui nous restent sont déjà suffisants, ces 85% sont pour faire autre chose de totalement différent...

Autant la pensée analytique doit faire des choix mais uniquement pour tout aspect de la vie PRATIQUE courante, de chaque instant, bouffe, logement, vêtements etc etc...autant la partie manquante du cerveau elle ne fait pas cela du tout ; elle contient le lien avec les autres, avec la nature, etc ; elle n'analyse pas, ne divise pas en moi/ les autres, ne crée pas de hiérarchie, de valeurs + ou -.. en gros en dehors de la pensée humaine, tout est égal,en fait unitaire-unifié sont des mots plus juste = tous nos problèmes sont et seront alors résolus.

La pensée ou "moi je suis le roi du monde et mon cul sur la commode", n'a pas de lien avec quoi ou qui que ce soit, sauf pour en tirer profit.. c'est dans son fonctionnement binaire moi/le monde.. sans faire cela il n'y aurait pas de pensée, chaque etre dit vivant a un tel programme plus ou moins développé....

Ainsi le fait de ne pas ouvrir tout notre cerveau est la seule cause de la démence humaine..... nos pseudo ancêtres, ces connards de singes voleurs de bananes des autres, n'y sont pour rien ....

La seule porte qui nous reste est celle ou se trouve ce que l'on passe une vie à essayer de fuir... elle est ce que on appelle la souffrance, notre non vie crée de la souffrance, un phénomène naturel qui doit arriver. Il signale tel un symptôme que quelque chose na va pas et il a une deuxième fonction de catalyseur qui, si il est laissé libre d'agir, va amener l'autre partie manquante du cerveau à s'ouvrir.....

Cette autre partie baigne dans une sorte d’Énergie étrange, profonde, en Paix...
Alors que la nourriture terrestre remplit le corps, cette énergie étrange, impossible à mettre en mots remplit ce qui n'est pas physique, dans de tels moments la question du sens a disparue..... seul un être en souffrance cherche un sens, celui qui ne souffre plus ne pose pas une telle question.

Fin provisoire : nous n'avons plus en fonctionnement dans notre cerveau que la partie outil mécanique à fonctionnement aléatoire qui analyse la mémoire, y compris celle passée de un milliardième de secondes, y compris celle du futur qui n'a pas de fin... car ce programme ne considère pas la fin, car il a comme priorité absolue de considérer la durée sans y inclure la fin...

Ce programme doit par nature etre superficiel pour un accès qui nous semble immédiat mais ne l'est pas, pour un accès quasi instantané à des informations vitales nécessaires pour le fonctionnement journalier dans notre environnement..

Cela va créer des zones non conscientes pour le dit programme, car il y a des zones plus profondes dans l'analyse, dans la pensée, je le sais par expériences directes et renouvelées comme d'autres le savent aussi bien sur... ceci n'a rien d’exceptionnel en soi.. d'ailleurs je serais même tenté de dire qu'il n'y a rien ni personne d’exceptionnel dans le sens WOW !!! nulle part, sauf si la pensée est présente et donne son avis car la pensée qualifie tout ce qu'elle regarde de quelque chose, bien, pas bien, bon, pas bon etc etc encore une fois ceci est nécessaire pour survivre et un danger mortel pour la vie, elle doit donc etre conservée bien sur, et nous devons nous mettre en route le reste de nos capacités ce que L'Origine ne peut pas faire pour nous, la pensée doit sous le poids de sa souffrance qu'elle doit vivre comme tel, doit renoncer à elle meme dans certaine circonstance et se laisser pénétrer par sa douleur puis plus tard par l'inconnu, ceci est un apprentissage, l'éveil et bien c'est par là...fastoche non ??

Cette zone profonde de la pensée inatteignable par notre pensée superficielle qui fait son travail tel que programmé en surface des chose et qui a une zone de compétences limités à la survie pratique, cette zone profonde hélas pour nous ne devrait pas être dans le non conscient....je dis hélas car ce que j'ai découvert pour moi même en vivant la souffrance d'une telle non vie au lieu de la fuir est que la force des désirs insoupçonné de notre pensée habituelle a énormément plus de poids que nos désirs superficiels...

en langage clair...on ne sait rien de nos VRAIS motifs....

c'est dramatique..

De plus on a donc aussi perdu l’accès à nos autres capacités non analytiques, aujourd'hui et éteintes depuis, au hasard Balthazar, 2500 ans sauf exceptions brèves voire plus, mais potentiellement toujours là pour tous, prêtes à fonctionner à nouveau dans certaines conditions X, Y ou même Z...

Ces autres capacités manquantes ont la solution de nos problemes qui sera montrée par la vision profonde de celui-ci à sa source...la solution à nos problemes n'est plus humaine mais globale ; ces capacités qui en fait nous sont totalement inconnues parce que nous ne fonctionnons plus que en surface des choses, ce qui je le redis est néanmoins vital.

En gros ces capacités manquantes qui sont elles aussi programmées, ont le rôle de savoir trouver toute seules la racine des problemes, de les exposer à la lumière, et de les résoudre, ça marche tout seul, la pensée est exclue de ce mouvement intelligent mais je ne sais pas le principe de fonctionnement au niveau programme, je sais juste que ça marche par expérience .... le mot "illumination" veut dire cela. De plus cela amène aussi à voir le fonctionnement même du programme de la pensée, cela se fait aussi tout seul... l'illumination est vraiment un truc de fainéant :-))

Elles contiennent aussi un lien entrée / sortie avec .....euh disons modestement L'Origine, L'Univers la nature etc etc...

A ce moment la nature de l’énergie qui dirige alors le cerveau ne divise pas en moi/les autres, ne hiérarchise pas, ne donne pas de valeurs plus ou moins, et considère étrangement que tout est donc égal, ni petit, ni grand...

Nos problemes humains seront résolus ainsi... on pense que L'Origine nous abandonne alors que c'est nous qui avons coupé notre lien avec ....TOUT...pour n’être plus que machine qui fait des machines...
Nous ne vivons pas mais survivons physiquement....

Bien que basé sur des faits vécus et revécus, ceci ne peut être perçu que comme un exposé théorique qui n'est vrai que si cela devient aussi une expérience pour un autre... sinon cela n'est qu'une autre théorie de plus, avec des milliards d'autres, mais personne ne peut aller dans une telle direction pour une autre.... ainsi disparait celui qui sait, le guru, le maitre, le pouvoir etc etc... il y a juste des gens qui disent leurs moments de "grace" vécus et non pas des théories intellectuelles,deux mondes qui n'ont rien à voir ! ce qui implique aussi des moments de douleur intense résolue car vécues donc comprises.

Certes il serait bien de se passer de douleur me dis-je à moi-même, en me rappellant que bien sur j'avais comme tout le monde commencé par là et que cela avait été une catastrophe , car nier la souffrance mentale d'une vie qui n'a aucun sens, c'est refermer défintivement la porte à ce qu'il y a derrière et qui est la libération de cette souffrance par la "vision étrange" de sa racine, cela ouvre à un éveil à notre nature profonde ; cette souffrance pour moi est en fait un processus d'éveil si on ne fuit pas... si on fuit cela, çà donne notre monde de machines, prêt à se suicider...

L' éveil est bien sur au dela des mots, de l'imaginaire même le plus fertile... certains que je connais l'ont rencontré cette énergie étrange en paix totale, en pensant qu'il s'agissait d'une expérience de mort imminente, alors que en fait il s'agissait tout simplement d'une expérience de vie.

Ce réveil qui est à la fois graduel et par bond ne se fait pas dans l'isolation, dans la reclusion mais dans le mouvement de la vie exterieure telle qu'elle est, l'isolation au sommet d'une montagne n'est pas un facteur déclenchant, le facteur n'est pas extérieur mais intérieur ...c'est cela qui va changer ce monde radicalement, si nous changeons d'abord.

Quelque part l’expression : aide toi et le ciel t'aidera.... me semble étrangement juste et vraie . Ce que certains traduiraient par : chacun sa merde et dieu pour tous .....

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